J'avais déjà voulu divorcer en 1998 après la mort de mon père.

Pensant que j'étais sous le choc, j'ai laissé une seconde chance à mon ex-mari et nous avons eu un  enfant dans de bonnes conditions générales (une bonne période pour le couple).

Mais je savais que je n'aurais plus la force de vivre à   vie avec lui: un colonialiste qui me voyait en être inférieur.

J'ai prié beaucoup pour mon ex- mari lorsqu'il était encore étudiant,

lorsqu'il a commencé sa vie professionnelle

et lorsqu'il a eu ses promotions.

Il me demandait régulièrement pour lui-même des prières.

J'ai prié plus pour lui qu'il n'a prié pour moi.

Je l'ai plus respecté qu'ilne m'a respecté.

Je l'a plus aimé qu'il ne m'a aimé.

Je ne l'aime plus depuis longtemps et c'est ça qu'il me fait payer.

Il m'a fait passer devant le Juge pour une bonne à rien qui n'a jamais bossé et c'est faux.

Lorsque je l'ai connu, j'étais salariée depuis longtemps et lui étudiant.

Je travaille depuis mes 19 ans et mes certificats de travail sont tous VRAIS.

Lorsque j'ai compris que ma décision de divorcer était ferme, j'ai beaucoup pleuré (seul Dieu le sait) en pensant à lui, au souvenirs, à notre enfant...

J'ai aussi prié pour que Dieu lui donne une gentille  femme et qu'il puisse reconstruire sa vie,

sa vie comme il la voit avec une autre qui lui conviendra mieux.

Car je voulais que nous gardions de bons rapports pour notre enfant.

Et Dieu lui a donné une nouvelle compagne, un nouveau bébé, une nouvelle maison....

J'ai demandé pardon pour les paroles blessantes que j'ai pu dire dans la douleur, à lui comme à Dieu

(mon fils a été pris longtemps en otage sur la base d'un faux dossier);

je me suis remise en question plusieurs fois.

Mais lui jamais.

Et encore moins pour tout le mal que lui et sa famille me font avec leurs liens de complaissance dans la ville.

Ils me harcellent et veulent me tuer à petit feu

(ville de gauchiste)

pour me faire taire sur tout ce que je sais et pour se venger de ma décision d'avoir divorcé.

J'ai divorcé par respect pour moi.

Je ne sentais ni aimée, ni "vue" ni repectée, et encore moins protégée malgré son fric (car le fric ne fait ps tout).

Et ma vie sexuelle n'est était pas une...

Mais pourquoi un blanc aurait plus le droit au bonheur qu'une femme noire ?

Ils m'ont tout pris par haine, par racisme, par "égo" car leur âmes sont malveillantes.

Comme aux temps des esclaves: prendre les energies du noir, prendre ses enfants, l'utiliser tout en le détruisant à petit feu.

Toulouse est encore à cette époque esclavagiste dans l'esprit.

Je supporte cette ville par la grâce de Dieu.

Je n'ai rien à me reprocher concernant mes

choix avec Frédéric Taillefer:

"At tu verras tu verras...?" 

"c'est déjà vu" et j'en ai vu bien d'autres.

Ils croient pouvoir me parler de lui mais que savent-ils de moi ?

Quoi que je sois,

j'ai le droit au bonheur aussi.